Hier soir, pas possible de trouver un endroit ou dormir. On nous à temps souvent vanté l’accueil des bomberos (Pompiers) que nous profitons de occasion pour vérifier. Ceux-ci acceptent rapidement, mais nous demandent de revenir vers 18 hrs. A 18 hrs, un débat commence entre eux, où va t-on les faire dormir.
Ils nous disent que le problème, c’est Delphine. Et oui une fille dans une caserne d’homme. Ils finissent par installer, dans le dortoir commun, 2 séchoirs qu’ils recouvrent de drap de bain. L’honneur est sauf, Delphine sera reçue comme il faut.
Le matin, nous enfourchons nos vélos, pas en pensant aux derniers km qui nous restes à parcourrir en amérique centrale, mais en s’imaginant la traversée en bateau. Aura t-on le mal de mer, partirons nous si la mer est trop agitée, et pour les passeports on va faire comment…
La route est une véritable tôle ondulée, on monte 10 m, on les descends de suite après. Mais le décor…voir a travers les cocotiers, l’immensité de la mer,…. une merveille.